Depuis le 1ᵉʳ janvier 2024, la manière dont les entreprises doivent présenter et communiquer leurs informations a subi une nette transformation avec l’arrivée de la CSRD ou « Corporate Sustainability Reporting Directive ».
Depuis le 1ᵉʳ janvier 2024, la manière dont les entreprises doivent présenter et communiquer leurs informations a subi une nette transformation avec l’arrivée de la CSRD ou « Corporate Sustainability Reporting Directive ».
Être un bon manager, c’est savoir mettre l’accent sur la croissance de son entreprise, mais c’est aussi savoir prendre soin de ses équipes, du bienêtre de ses collaborateurs et de leur épanouissement professionnel. Sauf que, nous le savons, la vie professionnelle n’est pas toujours un long fleuve tranquille, et la question de la gestion des conflits entre certains membres des équipes vient un jour ou l’autre à se poser. Fermer les yeux sur ces conflits en pensant qu’ils finiront par disparaître n’est pas l’attitude à adopter. Voici quelques conseils pour mieux comprendre comment gérer un conflit au sein de son entreprise, afin d'apaiser les tensions et de retrouver un environnement de travail agréable pour tous.
Instaurer une culture d’entreprise positive au sein de son entreprise ne vous coûte rien, ne vous fait pas perdre de temps, et rapporte gros. Celle-ci est devenue aujourd’hui un véritable levier stratégique : elle peut être à l’origine de la fidélisation de vos salariés, mais aussi de l’amélioration de la productivité de vos équipes.
La digitalisation est au cœur des mutations de nombreuses professions, et l’univers de la comptabilité ne fait pas figure d’exception. Les outils numériques se multiplient, les intelligences artificielles se développent de plus en plus, ce qui permet à l’Homme d’automatiser certaines tâches répétitives, de gagner du temps, et par conséquent de l’argent. Il est évident que cette digitalisation vient impacter de manière significative la fonction comptable.
Audit contractuel ? Définition, types, audit financier, audit fiscal, audit RSE, audit social… différences avec l’audit légal, fonctionnement. Le cabinet de conseils Reawave vous explique.
Piloter efficacement une entreprise demande de nombreuses compétences, et en tant que dirigeant, vous êtes souvent appelé à endosser différents rôles. Chef d’équipe, analyste financier, commercial… Il vous faut apprendre à jongler entre toutes ces différentes responsabilités. Hiérarchiser les tâches, organiser son emploi du temps… cet article est pensé comme un guide vous permettant d’optimiser votre temps pour maximiser votre efficacité et répondre aux exigences de votre fonction.
Un audit légal est une analyse de données réalisée par un auditeur externe et indépendant qui émet son opinion sur les comptes d’une entreprise. Mais qui est cet auditeur externe ? Quelles sont les entreprises concernées par l’audit légal ? C’est ce que nous allons découvrir.
Pour permettre à votre entreprise d’évoluer positivement, il vous faut vous organiser sur le plan comptable. Votre entreprise doit respecter certaines obligations, et en tant que chef d’entreprise, vous devez être en mesure de connaître, en temps réel, l’état de la santé financière de votre structure. Organiser votre documentation comptable et juridique est donc primordial. Mais comment faire ?
Toutes les entreprises (sauf les micro-entreprises qui disposent d’un régime particulier) sont dans l’obligation de tenir une comptabilité. La tenue de cette comptabilité vous permet de produire des documents comptables qu’il faut conserver. Ces documents représentent la trace écrite des opérations effectuées, et font office d’inventaire des actifs et des passifs de votre structure.
Vos documents doivent respecter certains critères afin de faciliter leur lecture, notamment par le fisc et les partenaires financiers de votre société.
Le plus tôt possible. La comptabilité de votre entreprise est essentielle pour sa croissance, mais elle est surtout obligatoire.
Vous pouvez opter pour une comptabilité en interne, ou l’externaliser chez des professionnels. Dans le premier cas, en tant que chef d’entreprise, vous pouvez prendre en charge cette obligation légale vous-même, ou bien créer un service comptable dédié à cette mission. Si vous optez pour l’externalisation de la comptabilité de votre société, orientez-vous vers un expert-comptable de confiance.
Documents obligatoires ou documents facultatifs, difficile de s’y retrouver.
La tenue d’un livre-journal est obligatoire pour toutes les entreprises, quels que soient leur régime fiscal et leur taille (à l’exception des micro-entreprises). Il s’agit d’un document qui enregistre de manière chronologique toutes les transactions financières de votre entreprise : achats, ventes, paiements, encaissements… Chaque opération doit être détaillée et doit mentionner la date, la nature et le montant de la transaction.
Votre entreprise a pour obligation de tenir un Grand livre qui doit regrouper toutes les écritures du livre-journal. Il reprend toutes les transactions enregistrées et les regroupe sous les différents comptes comptables concernés (comptes de charges, de produits, de trésorerie…).
Depuis début janvier 2016, la production du livre d’inventaire n’est plus obligatoire pour votre entreprise. Cependant, elle facilite l’établissement de votre bilan annuel en répertoriant les actifs et les passifs de votre structure.
Les comptes annuels, obligatoires pour les entreprises (sauf micro-entreprises), représentent la synthèse de vos activités financières sur un exercice comptable. Ils comprennent le bilan, le compte de résultats et les annexes.
Toutes les entreprises (sauf micro-entreprises) doivent préparer et publier leur compte de résultat. Il s’agit d’un document comptable qui récapitule les performances économiques de votre entreprise sur une année. Il contient les produits (revenus) et les charges (dépenses) de votre entreprise, ce qui permet de calculer le résultat net de l’entreprise.
Obligatoire pour toutes les entreprises (sauf micro-entreprises), le bilan présente la situation patrimoniale de votre entreprise au moment de la clôture de l’exercice comptable. Il détaille les actifs (immobilisations, stocks de marchandises, état de la trésorerie…), les passifs (dettes financières…) et les capitaux propres.
Les annexes ne sont pas obligatoires pour les entreprises, même si elles restent recommandées pour renforcer la transparence des comptes annuels. Elles permettent de fournir des informations supplémentaires pour expliquer les données présentées dans le bilan et le compte de résultat. Elles contiennent des détails sur les méthodes comptables utilisées, des informations sur les engagements hors bilan, sur le compte de résultat…
Opter pour la gestion en interne de votre comptabilité vous permet de limiter les échanges et donc de maintenir le contrôle de vos données financières. Mais comment s’organiser ?
Pour vous permettre de gagner du temps, constituez un service comptable au sein de votre entreprise. Son rôle sera alors de s’occuper de tous les aspects comptables de votre entreprise :
Pour réaliser votre comptabilité en interne, vous devez opter pour un logiciel performant qui vous permettra d’enregistrer toutes vos écritures comptables, d’établir vos livres de comptes… Si votre logiciel vous propose également une fonctionnalité vous permettant d’établir des devis et des factures, et d’envoyer votre liasse fiscale en format dématérialisé, alors cela peut représenter pour vous un réel avantage.
Lorsque vous choisissez un logiciel comptable, un plan comptable standard vous est proposé. À vous ensuite de l’adapter en tenant compte des spécificités de votre activité et de son organisation propre.
Vous avez pour obligation légale de conserver vos pièces comptables sous leur forme originale. Il vous est donc conseillé de mettre en place une méthode de classement logique, par ordre chronologique ou alphabétique, qui vous permettra de retrouver facilement vos documents, de faire la liaison entre la pièce justificative et son écriture comptable…
Organiser la comptabilité de votre entreprise est essentiel pour sa croissance, mais aussi pour répondre aux obligations légales. En mettant en place un service comptable, votre entreprise pourra continuer d’évoluer dans le respect des lois.
Lorsque l’on est à la tête d’une entreprise, entretenir des relations de confiance avec son banquier représente un facteur essentiel pour la croissance, la stabilité et la pérennité de votre société. Le banquier peut être un allié de taille pour le dirigeant d’entreprise, notamment en cas de recherche de financement avant de démarrer un nouveau projet, pour investir dans des équipements modernes et durables, ou même pour gérer les flux de la trésorerie de l’entreprise (dépenses, recettes…). En entretenant avec votre conseiller bancaire une relation basée sur la confiance et la transparence, vous augmentez vos chances de le convaincre de la viabilité de vos projets professionnels, ce qui peut vous aider à obtenir des crédits avantageux et des soutiens financiers lorsque vous en avez besoin…
Voici quelques conseils pour entretenir cette relation stratégique :
La communication est la clé d'une relation réussie avec votre banquier. Il est conseiller de planifier des réunions régulières avec votre conseiller bancaire (au moins une fois par an) afin de discuter de la santé financière de votre entreprise, de vos besoins en matière de financement et des projets à venir ainsi que de leur budget. Pour votre entreprise, votre banquier joue un rôle essentiel. Il est responsable de l’ouverture des comptes de votre société, mais c’est également à lui que revient l’attribution de prêts à moyen / long terme, ainsi que les crédits à court terme, les découverts... Il peut également vous conseiller dans le domaine de la gestion patrimoniale.
Il est donc essentiel que votre chargé de clientèle en connaisse suffisamment sur votre entreprise, votre direction et vos objectifs professionnels pour vous conseiller et vous offrir des solutions financières adaptées.
Afin que votre banquier puisse proposer à votre entreprise des solutions financières qui répondent aux besoins de vos projets, il est essentiel de mettre l’accent sur la transparence. Informations précises et complètes sur le chiffre d’affaires de votre entreprise, sur les montants des recettes et des dépenses, sur les actifs de l’entreprise, les dettes, etc, c’est en se basant sur toutes ces informations que votre banquier pourra estimer le montant de votre prêt ou de votre crédit.
Le rôle de votre banquier dépasse celui de gestionnaire des finances de votre structure. Il est également aux côtés du dirigeant d’entreprise pour participer à l’élaboration des stratégies financières et mettre en place des solutions pour atteindre ces objectifs. Il est donc impératif, pour le dirigeant de la société, de définir des objectifs clairs quant à l’orientation de la stratégie de développement. Augmentation des ventes, amélioration de la rentabilité, volonté de s’imposer sur d’autres marchés, mise en avant de nouveaux produits, etc, tous ces nouveaux objectifs doivent être chiffrés afin que votre conseiller financier puisse valider la faisabilité de votre projet et accepter votre demande de financement. Bilan, compte de résultat, tableau de trésorerie et plan de financement, votre analyse financière doit être claire et structurée.
Il est vrai que pour gagner, il faut parfois prendre des risques. Mais ces prises de risques doivent être modérées, et surtout encadrées. Afin de conserver la confiance de votre partenaire financier, montrez-lui que vous prenez des mesures pour minimiser les risques financiers pour votre entreprise. En anticipant les situations qui peuvent entraîner des pertes financières pour votre entreprise, en améliorant votre système de prise de décision et en planifiant la priorisation des actions à mener, vous renforcer votre gestion des risques et rassurez votre conseiller bancaire.
Vous pouvez décider d’opter pour la diversification des revenus, la gestion des flux de trésorerie et la constitution de réserves de liquidités. Un bon plan de gestion des risques renforcera la confiance de votre banquier envers votre entreprise.
Pour poursuivre et confirmer vos bonnes relations avec votre banquier, respectez vos engagements financiers envers votre banque. Il est important de rembourser vos prêts dans les temps, de maintenir un bon historique de crédit, d’éviter les découverts non autorisés, de ne pas sous-estimer vos besoins et vos futurs besoins financiers…
Vous l’aurez compris, il est essentiel d’apporter autant d’importance à la gestion qu’au business. Une bonne gestion financière démontrera votre fiabilité en tant qu'emprunteur, et consolidera les relations avec votre banquier !
Votre banquier est réellement un allié pour votre entreprise, puisqu’il est décisionnaire pour l’accord d’un prêt, d’un crédit, d’un découvert… Il est donc primordial pour les chefs d’entreprise d’entretenir avec leur chargé de clientèle une relation basée sur la confiance. Pour ce faire, la communication, la transparence, la clarté et la fiabilité font partie des éléments essentiels à prendre en compte.